
Tous deux blottis, encore et en corps. Dans la largeur du lit, c’était bien plus confortable. Son dos contre mon ventre, mon nez dans ses cheveux, et cette odeur de lait que l’on partage, l’odeur la plus douce du monde. Sa main dans ma main. Câlin. L’amour que je lui porte, c’est comme ce moment juste avant l’orgasme. C’est trop fort, trop intense, ça déborde, je vais exploser. C’est trop bon oh oui trop bon.
On a dîné, et notre complicité retrouvée dans un fou rire. Nos peaux s’effleurent et l’air de rien, mon nez...
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